Que vous soyez parent d’un enfant à haut potentiel intellectuel (IPS) ou que vous ayez un cours privé, vous pouvez vous sentir facilement désordonné. Pourquoi cet enfant, si passionné et si intéressé, échoue-t-il dans ce qu’il a à faire ? Et surtout, comment l’aider ?
Les enfants à fort potentiel doivent être accompagnés afin qu’ils ne se sentent pas blessés et mal compris. Il n’est pas toujours évident de comprendre ces enfants, dans cet article, on vous donne quelques conseils…
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- Les gènes font aussi des erreurs, tu sais ?
- Pour l’enfant avec un potentiel élevé, trop de choses semblent évidentes
- Pourquoi avant comment chez les enfants à fort
- La « pensée de l’arbre » des enfants avec
- Enfants à fort potentiel : nourrir leur curiosité
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Les gènes font aussi des erreurs, tu sais ?
« Je crains ! Cette confession vient souvent à HP, les « zèbres », ceux précédemment appelés les jeunes enfants ou les enfants doués. Il ne sert à rien de leur répondre qu’au contraire ils sont brillants : dans leur logique, l’un n’exclut pas l’autre, au contraire. « Je crains parce que d’être brillant, j’aurais dû réussir, mais j’ai perdu », a dit la personne concernée. Douance ne crée-t-elle pas des devoirs, surtout celui d’assurer la réussite académique ? Un quotient intellectuel élevé ne ruine pas… Mieux vautdonner la préférence à d’autres réponses à l’autodénigrement .
Par exemple, il peut être souligné que tout le monde a tort, même les personnes les plus brillantes. Un échec ponctuel n’est pas synonyme d’échec scolaire ! Dans certains domaines, c’est par erreur que nous trouvons. L’ erreur peut être nécessaire — parce qu’en l’étudiant, on apprend à ne plus le faire. C’est un conseil qui vaut tout le monde ! Les étudiants en médecine, par exemple, sont encouragés à tenir des « carnets d’erreurs » et à apprendre leurs bêtises pour éviter de les refaire.
Pour surmonter l’erreur et en profiter , il est fructueux de recentrer la conversation sur le travail qui a suscité cette remarque . « Votre réponse est fausse, mais pouvez-vous voir pourquoi ? ou « Vous avez oublié les questions, vous souvenez-vous de ce que vous pensiez à l’époque ?
Nous pouvons aussi faire appel à leur légendaire sens de l’humour… mais méfiez-vous » : leur manque d’estime de soi, leur immaturité émotionnelle fréquente, leur hypersensibilité, ils les font offenser facilement s’ils se mêle à leur malaise.
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Pour l’enfant avec potentiel élevé, trop de choses semblent évidentes
Une autre particularité des enfants à fort potentiel : ils raisonnent rapidement. Parfois trop vite pour ne pas commettre une erreur, ou tout simplement trop vite pour les trouver devant eux. En conséquence, il arrive que nous ne les suivions pas du tout… Pour cela, une seule solution : quand l’enfant donne une réponse, que ce soit bien ou mal, vous devez lui demander comment il l’a trouvée — lui faire sentir qu’il ne s’agit pas de lui mettre en difficulté, mais de comprendre.
Dans l’ensemble, ces enfants ont tendance à « sauter les étapes », à toujours vouloir gagner du temps. Mais s’ils comprennent que des mesures détaillées sont nécessaires — pour eux-mêmes ou pour leur interlocuteur — et fructueuses, ils le font involontairement. Expliquez, c’est intéressant !
En outre, leur haute sensibilité les rend anxieux, leur pensée peut, paradoxalement, souffrir de confusion en cas de stress émotionnel. En cas de malentendu, voire de manque de compréhension immédiate, ils perdent facilement les pédales, submergés par leurs émotions . Leur apprendre à atterrir, à se décomposer, c’est aussi pour les aider à canaliser leur panique potentielle. L’objectif : améliorer leurs résultats scolaires, mais aussi rendre la vie plus facile pour l’adulte avec un potentiel aussi élevé dès qu’il le sera !
Pourquoi avant comment chez les enfants à fort potentiel
Plus généralement, l’enfant à un âge précoce a le plus de mal à apprendre sans comprendre . Par conséquent, le par cœur le répugne ou même le vole. Nous vivons dans un monde où l’apprentissage par cœur, « bêtement », est souvent considéré comme rétrograde, et il partage cette opinion. Cependant, l’apprentissage par cœur est souvent indispensable.
Prenez les tables de multiplication, par exemple : en profitant de sa vitesse, l’enfant avec un potentiel élevé aura tendance à ne jamais les apprendre , et à faire des ajouts dans sa tête à tous les rythmes. Vous ne pouvez voir que le feu… sauf que le résultat est parfois faux. La même chose pour apprendre un poème : il faudra assimiler sa logique, sa structure, réfléchir sur les choix faits par l’auteur, pour apprendre à mémoriser des mots. Souvent, ce sont les textes les plus simples, qui l’agacent, qui stocke le moins bien !
En fait , les enfants d’avant ont besoin de choses qui ont du sens . S’ils ne suivent pas les instructions, ils ne comprennent pas pourquoi ils les suivent. « Parce que c’est ainsi » sonne à leurs oreilles comme une provocation. L’une des solutions consiste à expliquer, même si elle implique parfois l’affront de notions abstraites et de questions qui sont loin du sujet.
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« la pensée de l’arbre » des enfants en haut
En outre, les enfants à fort potentiel intellectuel sont habitués à changer les sujets … c’est aussi l’une de leurs caractéristiques : nous parlons d’une« pensée d’arbre » — d’une naissent des idées différentes, plusieurs sont poursuivies simultanément (alternant de toute façon !). Le travail d’accompagnement consiste à trier entre pensées et pensées parasitaires utiles potentiel — et donc ne jamais perdre de vue l’objectif.
En outre, la précocité intellectuelle va souvent de pair avec un profil cognitif inhabituel. Par conséquent, le lien entre ces enfants n’est pas toujours évident de l’extérieur : certaines hypothèses sont parfois déroutantes. Si un A est une lettre jaune ou que le vert amande a un goût de chocolat peut surprendre… Parfois, il est simplement nécessaire de préciser « d’autres personnes ne le ressentent pas ».
Les enfants à fort potentiel : nourrir leur curiosité
L’ enfant HPI comprend rapidement. Ça va vite. Donc, il a immédiatement l’impression d’avoir détourné une dispute. Rien ne sert à le faire tourner à nouveau… ou il ne comprendra plus rien, ne se concentrant pas là-dessus, sa sensibilité exacerbée le blessant. Le risque : troubles de l’apprentissage, voire troubles comportementaux. Il existe trois méthodes pour s’assurer que les étudiants à fort potentiel ne s’ennuient pas :
- Accélération : Rendre le programme plus rapide que d’autres , sauter les cours ou aborder certains concepts avant le calendrier,
- Enrichment : apporter plus de contenu , de détails, d’accéder à plus d’informations sur un sujet — et ensuite inviter l’enfant à faire un résumé détaillé des autres questions sur le même sujet
- , Enfin, approfondir : effectuer une étude plus complète des sujets du programme, la curiosité des doués aux sujets d’intérêt étant insatiable.
Un dernier point : deux enfants avec ce même profil diffèrent toujours par mille aspects . Certains comme nous faisons appel à l’humour, d’autres désirent calme et sérieux… Certains ne se sentent bien que sur un fond musical, d’autres ne supportent pas le bruit… Il arrive aussi que la douance s’accompagne d’une dyslexie, de troubles de l’attention, du syndrome d’Asperger… Haut potentiel ou non, c’est toujours à une personne unique qui est adresse, et ces conseils trouvent leur limite dans cette unicité !
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